Storytellers, who is your hero ?
That is the question.
Vous connaissez la clé pour raconter n’importe quelle présentation comme une histoire ?
Vous savez comment faire d’un « pauvre point » un contenu riche et palpitant pour votre auditoire ?
Comment ne pas le noyer sous un fatras informatif soporifique ? Comment lui faire passer un message, lui vendre une idée ?
Le pouvoir des histoires, c’est de nous intéresser, en nous faisant suivre un fil, qu’on ne veut pas lâcher jusqu’à la chute.
Comment tisser ce fil ?
La clé-tous-terrains qui fonctionne sur tout type de discours, c’est le héros.
Le fil rouge, c’est lui.
Si vous déterminez le bon héros, vous tenez le fil de l’histoire.
Mais qui est le héros ?
Votre entreprise, le fondateur, la marque, ses utilisateurs, ses prospects, les fans de la première heure, les déçus, les zappeurs ?
Là n’est pas la question.
C’est pas le casting qui fait le bon héros.
We can all be heroes.
Mais la géométrie.
Le héros, c’est le sommet d’un triangle.
Isocèle.
Appelons le point A.
Le héros/point A, c’est celui qui est détenteur d’un problème (insight)/Point B.
Et dont le problème en question va être résolu par une idée (ou un message)/Point C.
Cette structure est magique. Essayez. Ça marche.
A la condition, bien sûr d’avoir une bonne idée ou un vrai message, qui réponde à un vrai problème…
Pour cela, nul besoin d’être un (super) héros, il suffit d’être un (vrai) planneur.
Un vrai planneur, au fond c’est un solutionneur de problèmes bien posés.
Un Mac Gyver bien outillé dont le couteau suisse est le couple problème-solution, ou si vous préférez insight-idée.
L’habit ne fait pas le moine.
L’outil ne fait pas le bricoleur.
La raquette ne fait pas le tennisman.
Et l’outillage ne fait pas le planneur.
Certes.
Mais un bon planneur sait fabriquer de bons outils.
Des outils qui permettent de démêler la complexité pour aboutir à la simplicité et la précision.